003/ La Cité, le début d'un sentiment identitaire unitaire (+22TC)

- "Je côtoie la Cité de notre Ordre depuis maintenant plus d'une année et j'y observe un changement notable. La Cité a toujours été un refuge d'apatrides. Des meurtriers, des contrebandiers et des pirates y font passages ... Il y a aussi des réfugiés de guerre, des anciens esclaves et des opprimés qui y trouvent le repos également. J'ai connu une Cité divisée par ce fait. Une Cité hétérogène divisée en quartiers fermés à la diversité. Le quartier des migrants politiques, le quartier des voyous de passage,... Ce n'était pas une Cité mais des quartiers englobés sous une même appellation de "Cité".

- "Tout ceci a changé. Il s'est passé quelque chose durant le schisme. Je n'ai pas pu observer le déroulement de ce procéder dans le chaos de la guerre mais on ne peut pas nier les faits. La Cité s'est soudée. Les miliciens sont respectés. Les quartiers sectaires se sont dissous. La guerre civile que nous avons surmonté nous a uni. Ce malheur fit de notre Cité une nation avec un peuple. Les "gens de passages" ont fait place à une population fixe répondant à l'autorité de notre Ordre. Ils respectent les Gardiens plus que tout. Ils se sentent aussi puissants que redevables. cette union est devenue quelque chose s'approchant de l'ordre du sacré."


- "Le tableau n'étant jamais tout blanc ou tout noir, je me dois de souligner d'autres observations. Bien que les nouveaux arrivants soient bien accueillis, les personnes de passages sont marginalisés et mises de côté. Les citoyens sont de moins en moins ouvert vers l'extérieur. Il n'est pas rare de voir des conversations ouvertement hostiles contre la République, l'Empire et Zakel."